Savais-tu que la capacité d’attention des humains est d’environ 8 secondes? Oui, oui, on est autant surprises que toi! Cela est d’autant plus vrai lorsqu’on navigue sur les Internets. 🤓 Ce qui veut dire que lorsqu’on rédige des articles de blogue (comme celui-ci d’ailleurs), ils se doivent d’être intéressants, structurés et pertinents pour les lecteur.trice.s afin qu’ils ne quittent pas la page après avoir lu trois lignes. Un article qui passe dans le beurre, c’est un peu décevant, on va se l’dire!
Heureusement, il existe plusieurs trucs pour donner un peu de pep à un article. Devine quoi? On te les partage ci-dessous! En tout cas, on espère qu’on ne t’a pas déjà perdu.e, parce que le meilleur s’en vient!
On se prépare adéquatement
1. Définir son public cible
La base : il faut savoir à qui on s’adresse. Un bon moyen de définir son public cible est de dresser une persona, soit une personne fictive qui représente au mieux son client idéal. Quel âge a-t-il? Quelle est son expérience professionnelle? Quels sont ses intérêts et ses motivations? Comment s’informe-t-il? Voilà quelques exemples de questions qu’on doit se poser. Bref, il faut se mettre dans la peau de notre cible : seras-tu Richard, 58 ans, ou Léa, 25 ans, pendant la rédaction de ton texte? Ça peut sembler un peu banal, mais on te garantit qu’après cette étape, il sera beaucoup plus facile d’orienter le ton et l’angle de ton article.
2. Suivre sa ligne éditoriale
Pour chaque article rédigé, il est ultra-important de garder en tête sa ligne éditoriale. Sans direction précise, ton audience sera comme les Commères sans leur tasse de café le matin, c’est-à-dire, un p’tit peu perdue. On te suggère donc de considérer ces éléments :
Les thématiques à aborder : dans certains cas, il peut être pertinent de s’assurer que les articles ont un fil conducteur entre eux afin de créer une cohérence.
La tonalité utilisée : on vouvoie ou on tutoie? On veut adopter un ton humoristique, sérieux, neutre?
La fréquence de publication : on publie une fois par mois? Deux fois par mois? Peu importe la fréquence définie, une chose est essentielle : la constance.
Les objectifs : est-ce de mousser les ventes? De bâtir la communauté? D’éduquer sur un sujet spécifique?
3. Choisir le sujet de l’article
Une fois que le public cible et l’angle du texte sont établis, on peut choisir le sujet de notre article, YAY! Conseil d’amie : garde en tête que ce dernier doit répondre à une problématique précise à laquelle fait face ton public cible.
Sinon, pour trouver de l’inspiration et t’aider dans la rédaction, tu peux bien entendu faire appel aux bons vieux moteurs de recherche. Toutefois, n’oublie pas d’inclure tes sources, spécialement si tu utilises des citations telles quelles. Loin de nous l’idée de te rappeler les notes de bas de page de tes projets scolaires, mais ça ressemble à ça quand même!
4. Élaborer un plan de rédaction
La lecture sur le Web ne se fait pas comme lorsqu’on lit un livre ou un magazine. I mean, oui on lit de gauche à droite (préférablement), mais ce qu’on veut dire, c’est que les lecteur.trice.s partent à la recherche des informations dont il.elle.s ont besoin seulement. Voilà pourquoi le plan permet de structurer les informations qu’on veut partager et donc d’être beaucoup plus efficace lorsqu’on commence à rédiger.
On entre dans le vif du sujet
Le moment tant attendu : tu es maintenant prêt.e à taper les premiers mots de ton article! Voici quelques conseils en rafale pour rédiger un texte performant :
Définir un titre accrocheur : idéalement, on veut qu’il retienne l’attention. Donc, on le garde court, explicite et original.
Rédiger une introduction de fuego : sujet amené, posé, divisé, mais avec un p’tit punch!
Structurer le texte intelligemment : comme on dit, trop c’est comme pas assez! Le plus possible, on essaie de se limiter à 800 mots et on scinde le texte en plusieurs paragraphes, question de ne pas faire paniquer les lecteur.trice.s à première vue, tsé!
Choisir le style d’écriture judicieusement : il suffit d’aller droit au but! Il est important de s’adapter au format digital, on utilise donc des mots simples ainsi que des phrases courtes et claires.
Terminer avec un appel à l’action : optionnel, mais nécessaire si tu désires inciter tes lecteur.trice.s à prendre contact avec toi, par exemple.
On édite pour que ce soit su’a coche!
Relire et corriger : on te recommande de relire au moins deux fois ton texte, question de s’assurer qu’il n’y a pas de coquilles. Parce que même si tu te considères comme un.e gourou.gourelle (oui, gourelle!) de la langue française, l’erreur est humaine! Sinon, des logiciels de correction comme Antidote s’avèrent très efficaces pour la révision.
Ajouter des images par-ci par-là : comme l’univers du Web est très visuel, on te suggère d’ajouter quelques images au travers du texte afin de rendre la lecture plus captivante et dynamique.
Ajuster la mise en page : pour assurer une cohérence avec l’image de marque et le site Web de l’entreprise/organisme (polices, couleurs, format, etc.).
Optimiser le texte pour le SEO : pour optimiser le référencement naturel (SEO) de l’article, il faut adapter certains éléments. Par exemple, en ajoutant des mots-clés dans le titre et dans le texte afin de favoriser son emplacement dans les résultats des moteurs de recherche. On s’entend, c’est une description très brève, on pourrait faire un autre article complet sur le sujet!
Partager, partager et repartager! Pour mettre toutes les chances de ton côté et maximiser les vues de ton article, on t’invite à le partager sur les médias sociaux ou dans une infolettre. Tu peux le faire de deux façons : soit en informant tes abonnés qu’ils peuvent découvrir un nouveau contenu sur ton blogue, ou bien en déclinant les différents sujets de l’article en créant plusieurs publications et infolettres.
Alors, te sens-tu d’attaque pour rédiger ton prochain article de blogue? 😉
P.S. On sait qu’on a légèrement enfreint la règle des 800 mots maximum… mais crois-nous, tu auras besoin de tous ces précieux conseils un jour ou l’autre!
Écrit par : Clau 📝
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